Je viens d’une famille 100 % francophone qui ne maîtrise pas du tout l’anglais. J’en ai appris les rudiments, comme de nombreux Québécois, au primaire et au secondaire dans le cadre d’un programme qui – soyons honnêtes – est terriblement lacunaire. Alors que j’avais des A dans toutes les autres matières, je me contentais de C en anglais.
Comment une personne avec tant de difficulté avec cette langue en vient à la parler, à la lire et à l’écrire couramment? Au point où elle :
- Se retrouvera dans la classe « forte » pour ses cours d’anglais au cégep;
- Éditera des articles scientifiques en français et en anglais au JIRIRI et chez Sens Public à l’Université de Montréal;
- Effectuera les traductions de l’anglais vers le français chez Scriptum, une agence de marketing de contenu bilingue située à Saint-Jean-sur-Richelieu.
La réponse : avec beaucoup de volonté et d’efforts.
À la fin de mon adolescence, j’ai décidé d’abattre la barrière de la langue. J’étais frustrée de constater tout le matériel (films, livres, jeux, services, etc.) qui me demeurait inaccessible. Je me suis donc résolue à apprendre l’anglais par mes propres moyens. Ma méthode implique de longues heures de lecture avec des onglets ouverts sur Google Translate (ne pas l’utiliser pour les phrases complètes, juste pour les termes spécifiques ou les locutions typiques!) et WordReference. Au fil du temps, j’ai assimilé la grammaire et les expressions et le dictionnaire est devenu superflu.
Ensuite, j’ai commencé à m’intéresser aux séries télévisées en VOA (parfaite occasion : le coffret de Farscape – probablement le TV show de science-fiction le plus alien de tous les temps – n’était pas disponible en VF) pour entendre les mots. Le reste, y compris la prononciation, n’était plus qu’une question de pratique. Aujourd’hui, je lis autant en français qu’en anglais, que ce soit des romans ou des textes plus techniques. De même, je regarde et j’écoute des longs métrages, des séries, des documentaires, des vidéos, des podcasts, etc., dans les deux langues.
Adaptation de contenu
Professionnellement, mes diverses expériences m’ont amenée à la traduction de correspondance, de résumés, d’articles de blogue, de sites Web… En tant que pigiste cependant, le service que je propose se rapproche plus d’un travail d’adaptation. Par exemple, je peux rédiger pour votre entreprise un advertorial en français à partir d’une page, d’un rapport ou d’un communiqué en anglais. Je traduis, réécris et restructure l’information de manière à séduire le consommateur. J’adapte un contenu anglophone à la forme X en un texte francophone disposant d’un objectif (p. ex., vendre plutôt qu’instruire) et/ou d’un public cible distinct (p. ex., les citoyens du Québec, par opposition à ceux des autres provinces et territoires du Canada).
Charmez les Québécois en demandant à l’une d’entre eux de vous aider à y parvenir.
Autres services
Rédaction

Je me spécialise dans la rédaction de contenu optimisé pour le référencement naturel (SEO) : articles de blogue, pages de site Web, publications sur les réseaux sociaux, etc.
éDITION

Je m’occupe de l’édition de votre contenu Web ou autre. Je le révise, le bonifie et l’optimise. Par exemple, je vérifie la qualité de la langue, j’ajoute des appels à l’action, je réécris pour le SEO.